Contexte et enjeux
Une mauvaise alimentation est un facteur de risque environnemental majeur des pathologies métaboliques (comme l’obésité et le diabète de type 2) et de leurs complications (maladies cardiovasculaires, cancer, insuffisance rénale chronique, etc). En outre, nous sommes confrontés à une crise environnementale sans précédent qui soulève de nouvelles questions clés d’alimentation durable ayant pour objectifs une nutrition et une santé optimales de la population.
Dans ce contexte, l’intestin est clairement un acteur central dans le lien entre nutrition et maladies métaboliques, via l’absorption des nutriments, la régulation de la phase postprandiale, le métabolisme des acides biliaires, la modulation du microbiote intestinal, et le contrôle des cellules impliquées dans l’intégrité de la barrière intestinale et dans la production d’hormones intestinales.